« Et si on pouvait se sentir mieux rien qu’en se regardant ? »
Ce n’est pas un slogan, ni une phrase toute faite. C’est une vraie question, posée un jour banal, entre deux cafés, par cinq étudiants réunis autour d’un projet d’étude. Une question presque naïve, mais qui a tout déclenché.
Salomé, Amandine, Amine, Alan et Pablo ne se connaissaient que depuis quelques mois, mais ils partageaient déjà une intuition commune : notre rapport à nous-mêmes, à notre image, à notre bien-être quotidien, mérite d’être repensé. Pas à coups d’algorithmes froids ou de solutions magiques. Mais avec du sens, de la douceur, et un peu d’audace.
C’est là qu’est née Sight Me. Des miroirs, oui. Mais pas n’importe lesquels. Des miroirs qui écoutent, qui comprennent, qui guident. Des miroirs qui transforment un moment mécanique – se regarder le matin – en une expérience presque intime, presque humaine.
Le projet, à la base purement scolaire, a vite dépassé les attentes. Parce qu’il répond à un besoin que beaucoup partagent, sans toujours oser le formuler : celui de se reconnecter à soi, différemment. Avec bienveillance. Avec confiance.
« Tout a commencé par une simple question. »
Mais aujourd’hui, ils proposent bien plus qu’une réponse. Ils proposent une nouvelle manière de se voir.